Il est vrai que l'on trouvait encore beaucoup de disque dur RLL, MFM, et parfois quelques carte SCSI 8 bits, mais ce que l'ont trouvait de vraiment très rapide pour des 286 et qui étaient des alternatives aux disques SCSI, c'était du ESDI, souvent associer à des disques de marque Micropolis de 80 à 120 mégas, c'est le contrôleurs de la carte ESDI qui contrôlait tout çà, comme pour certains disque sur carte que l'on achetait dans le temps pour faire de la vidéo, notamment avec des modèles de Amiga équipés en plus d'une carte pour PC 286.
Je crois même en avoir des plus gros qui nécessite certains réglages de reconnaissance dans le bios, qui prend parfois des approximations pour fonctionner selon un type déjà fixé dans le bios, car apparemment le logiciel fixant les éléments physiques des disques de l'époque, prenant facilement le type d'un disque 20 mégas par exemple, pour faire fonctionner un 80 ou autres formats, vue que certains n'avaient même pas d'autres réglages que ceux près-établis par le constructeur du bios.
Mais de toute façon il existait déjà des disques durs de forte capacité allant jusqu'au giga, j'ai d'ailleurs le magasine de l'époque (1985) qui le montre en photo, un truc qui devait faire plusieurs kilogrammes et qui n'aurait surement pas tenue dans l'ordinateur.
Mais de toute façon vous étiez obligé de le partitionner et de créer de multiple lecteur logique, puisque le ms-dos compatible avec ces processeurs, qui si je me souviens bien, ne reconnaissait pas de forte capacité de disque à l'époque, à moins d'avoir un petit programme capable de le gérer sur une plus grande taille, ce qui était très rare, de plus il ni avait pas non plus assez de lettre de l’alphabet pour créer les partitions de certains disques de fortes capacités, ce qui donnait des acronymes de lecteurs baroques supplémentaire au dessus de la lettre W, comme quand vous rajoutez des lecteurs de disquette qu'il nome 1, puis 2 et ainsi de suite après le A et le B puisque, il n'est pas prévue théoriquement pour en recevoir plus de deux, sans compter la surconsommation de mémoire conventionnel excessive à cause du nombre de lecteurs supplémentaires, et à cette époque là, un malheureux Ko de moins pouvait facilement empêcher un programme de démarrer.
Mais bon, pour utiliser des 8086 jusqu'au 286, il faut surtout les softs de l'époque pour le rendre intéressant, sans compter que Windows en ce temps là, servait pas à grand chose de plus que lancer des applications ms-dos, il servait plus de shell qu'a un système d'exploitation, une simple interface graphique, qui d'ailleurs ne simplifiais pas forcement la vie des lambdas.
cela ne manque pas de programme qui fonctionne encore très bien sur un 286, une machine que je possède encore équipé de Data Pack ESDI, avec un Windows 2.0 installé sur disquette, comme ont le faisait avec ms-dos à une époque quand on avait qu'un tout petit 20 ou 40 méga MFM comme seul disque dur, et pourtant j'en faisait tourner des choses avec çà.
Et puis avec, il faut pas oublier les fameuses carte mémoire que nous rajoutions sur un port ISA/EISA qui servait au 8086, que nous rajoutions dans le PC, car bien souvent, on trouvait rarement plus que 640 à 1024 kilo de mémoire vive sur la bête, car la mémoire était cher, alors on se débrouillait avec les moyens du bord et les vieux coucous en restes pour gagner un peut de mémoire en plus, car je connaissait très peut de personne qui avait les moyens de se payer plus de 4 mégas de mémoire 8 bits à l'époque des 286, bien souvent on la passait de l'Atari au PC pour éviter d'en acheter d'avantage.